Alep, la Ghouta, Idleb … Une à une, le régime syrien écrase depuis quelques mois les dernières zones insurgées. Si Bachar Al Assad bénéficie du soutien de ses alliés et du consensus de quasiment tous les gouvernements de la planète qui ont désigné Daech comme l’ennemi prioritaire voire comme le seul ennemi, il nous en faudra plus pour oublier ce qu’il s’est passé en Syrie.
La répression et la disparition de nombre d’entre elles ne fera pas non plus oublier les centaines de milliers de personnes qui se sont soulevées dès 2011, dans les rassemblements puis au cœur de l’insurrection.
Originaire de la Ghouta en banlieue de Damas, Majd Al Dik est l’un de ces nombreux jeunes syriens qui a participé aux premières manifestations. Puis, lorsque le régime a choisi la guerre civile et l’opposition l’insurrection armée, il s’est investi dans les différentes structures mises en place dans sa ville pour que la vie continue : conseils communaux, organisation du ravitaillement, reprise en main par les opposants des hôpitaux et des écoles, etc.
Il sera présent le 14 septembre, 19h à la Maison de la Grève, nous racontera le soulèvement du peuple syrien et les tentatives de réappropriation du quotidien dans les villes insurgées.
« Saint Graal » génocidaire : comment Israël se sert de l’IA pour cibler des milliers de victimes
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